L'Accord commercial anti-contrefaçon (ACTA en anglais) est une proposition de traité international qui se négocie actuellement entre un grand nombre de pays comprenant le Canada. En Europe, on réagit vivement au contenu de ce futru traité. La contestation se fait au niveau de l'Union européenne. Ce traité sous couvert de s'attaquer à la contrefaçon vise à mettre en place des règles visant à limiter la circulation des oeuvres ou produits sous droits de propriété (copyright, brevets, etc.). Pour ce faire on propose des mesures de flltrage du Net, des mesures techniques de protection (DRM), et bien d'autres choses.
On oublie souvent de regarder autour de soi pour trouver des alliés. Plusieurs membres de Facil sont liés, de près ou de loin, à des organismes dit de l'« économie sociale ». Fait-on tous les efforts pour leur faire découvrir que le logiciel libre colle véritablement à leurs valeurs de partage et d'entraide ?
Bastien Sibille, qui est coordonnateur de l’Association Internationale du Logiciel Libre (Ai2L) pour l’Économie Sociale, vient de publier une belle réflexion sur les liens qui existent, ou qui devraient exister, entre l'économie sociale et le mouvement du logiciel libre. M. Sibille sait de quoi il parle car l'Ai2L a justement pour but de proposer des logiciels libres mieux adaptés à l'économie sociale.
Dans le même ordre d'idées on peut s'étonner du peu d'implications des grands syndicats dans les projets libres. Une autre sensibilisation à faire.
Nous avons tous lu de récents rapports qui indiquent que le Canada est à la traîne autant dans la vitesse des liens Internet que dans les tarifs demandés par les fournisseurs de services. Cette situation tient au fait que la concurrence n'est pas vraiment favorisé dans ce secteur au Canada. De grandes compagnies possèdent l'infrastructure nécessaire et contrôlent ainsi l'acc
Serge Martel sur le blogue de Gestion Ressources fait la comparaison entre la situation des sociétés de services informatiques en logiciel libre en France et au Québec. Cette fois-ci, l'herbe est réellement plus verte chez le voisin. Son article commence ainsi :
Pierre Asselin dans le journal Le Soleil s'intéresse à la campagne électorale municipale sous l'angle du logiciel libre. Il mentionne que le parti Projet Montréal fait une grande place à l'utilisation du logiciel libre dans son programme. Puis il rappelle que des villes canadiennes et américaines ont pris des engagements concrets envers les formats de données numériques libr
Montréal, le 13 octobre 2009 - Communiqué de presse
À l'occasion des élections municipales du 1er novembre 2009, l'association « FACIL, pour l'appropriation collective de l'informatique libre » lance une campagne de mobilisation et invite tous les candidates et les candidats à signer Le Pacte du Logiciel Libre.
Le Pacte du Logiciel Libre est un document simple qui permet aux électeurs de savoir quel candidat et quel parti a pris conscience des enjeux du Logiciel Libre et des formats ouverts et s'engage à promouvoir et défendre les libertés qui y sont associées.
Le Logiciel Libre, c'est de l'emploi au Québec !
Raymond Ouellette, sur la liste logiciellibre@listes.gouv.qc.ca, attire notre attention sur un article d'ITWire (magazine australien d'informatique) intitulé « Why Microsoft is Australia's default buy».
Des solutions d'affaires libres pour les administrations publiques C'est sous le thème Des solutions d'affaires libres pour les administrations publiques qu'aura lieu le 5 novembre prochain à l'hôtel Hilton de Québec la quatrième Conférence sur les logiciels libres et les administrations publiques (CLLAP). Destinée principalement aux décideurs, gestionnaires et informaticiens d'organismes publics, cette conférence permettra aux participants de prendre connaissance d'expériences et de succès reliés à l'utilisation de logiciels libres dans plusieurs administrations publiques québécoises, canadiennes et étrangères (France et États-Unis).