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Publié le: 16 May, 2005 - 11:29

Le projet MILLE, René Rancourt, Commission scolaire de Laval.

Contraintes de croissance et aussi de déséuétide du parc informatique (160 000 postes). Recherche pour valider si les logiciels libres sont possibles économiquement et pratiquement. Faire une preuve de concept dans le cadre des commissions scolaires.

4 projets sous MILLE. Premièrement COLIBRIS (distribution de logiciels). 30 logiciels outils. Choisis par des spécialistes de l'éducation et de l'informatique. Ensuite le bureau virtuel. Sur le socle UPORTAL, avec le socle java, utilisant les standards ouverts. Supporter par plusieurs compagnies de services en logiciels libres au Québec.

Intégration des normes commes WSAP pour l'échange de contenu. Module d'agenda, pour élève et personnel, partagé et synchronisé. Classeurs pour fichiers aussi disponible. Portlet de elearning sera intégré. Panoplie d'outils maintenant disponible. Par exemple, la calculatrice à pris 30 minutes à intégrer dans la suite d'outils dans le portail... rendre les outils disponibles. L'ensemble du relevé de notes est disponibles, les présences, les absences, etc. À la CSSMI, plus de 46 000 connections par mois. Environ 100 fonctionnalités sont utilisées. Les ressources les plus utilisées sont les classeurs, l'agenda, le dossier scolaire, les communauté. Au niveau des commentaires d'élèves, l'enthousiasme est très fort.

MILLE Xterm, c'est le projet qui permet d'utiliser des ordinateurs plus vieux comme terminaux, donc des postes de travail légers. Faire face à la vague constante de mises à jour nécessaires pour les postes, centraliser. 192 PC sont dédié et 631 PC peuvent se connecter, objectif de 2000.

MILLE infrastructure, ce sont les recommandations des morceaux de base pour que les serveurs fonctionnent au niveau informatique. La CS des Affluants est déjà à 90% dans ce type d'infrastructure.

Conclusions: barrière à l'entrée plus basse, permet de rendre disponible plus rapidement aux professionels de l'éducation pour mieux servir leur clientèle.

Question, est-ce que ce projet rencontre de la résistance? Est-ce que d'autres suivent l'exemple? Oui par exemple., la CS de Beauce Etchemin, en un mois, à partir d'une équipe qui ne connaissant pas du tout Linux ou le Libre, sont maintenant opérationnels. Il se batît une communautés, les CS ne sont pas des concurentes du tout, par exemple le réseau des RÉCITS.

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Publié le: 16 May, 2005 - 11:26
Un point intéressant déjà soulevé deux fois, c'est que l'industrie, traditionnellement proposait des solutions, des trucs tout faits. Maintenant le libre propose un processus, c'est un changement de culture mais qui permet enfin l'appropriation, donc l'effet est différent et le point de départ aussi, à considérer...
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Publié le: 16 May, 2005 - 11:03

Pourquoi des collectivités françaises migrent vers les logiciels libres, par Yannick Boehmann, Ville de Sélestat, France.

De plus en plus de contraintes administratives, mais pas plus de budget. Donc c'est très pragmatique comme réflexe. OpenLDAP, samba, posfix, infrastructure. Gendarmerie royal 70 000 postes migrés en open office, 20 milions d'euro d'économie à ne pas être obligé de mettre à jour les ordinateurs. Ré-investir les économies, mutualiser les développements.

Les deniers publics ne doivent servir qu'une seule fois. C'est logique! Placer les logiciels sous license GPL. Inciter les autres à l'utiliser, gagner du temps et de l'argent.

Comment réussir sa migration. Migrer en premier le back-office. Facile de changer un serveur, la migration de Windows NT à Windows 2003 est aussi similaire à Linux (coûts/complexité très similaire). Garder les mêmes fonctionnalités. Défénir méthodologie d'avance, prendre son temps, prendre en considérations les ressources humaines, évaluation des ressources matérielles. Estimation des délais pour migration complète, surtout les coûts externes.

La bureautique c'est le dossier épineux par excellence. Le changment c'est déplaisant pour les utilisateurs. Il faut accompagner, très clairement informer. Analyser les docuements produits, attention aux surprises! Les formats sont très alambiquées et pas structurée (note: c'est vrai, les gens n'utilisent pas les styles dans word!). Beacoup d'applications de niche qui ne travaillent qu'avec MS-Office. Par exemple les correcteurs ortographiques.

50 à 60% des documents sur les serveurs ne servent plus à rien! Donc il ne faut pas nécessairement tout migrer, seulement ce qui est important, c'est un bon temps pour se poser ces questions. L'effet d'entraînement des autres utilisateurs, c'est beaucoup plus efficace. Soutien hierarchique fort pour la bureautique, c'est critique.

Les coûts d'une migration. En calculant l'économie des licenses. Temps passé à effectuer la migration. Qui va faire la migration. Durée de migration, retour sur investissement sur plusieurs années. Le facteur utilisateur complexifie beaucoup l'évaluation et les coûts de la bureautique. Un projet, c'est 10% technique, ou même moins (note: yes! content d'entendre ça!). Les ressources humaines, formation, accompagnement, suivi.

Pourquoi le libre? Maîtrise de coûts. Maîtrise du parc logiciel et de l'informatique interne.

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Publié le: 16 May, 2005 - 10:13
Quelques-unes déjà sur Flickr... utiliser la socionomie cllap.
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Publié le: 16 May, 2005 - 09:48

Un modèle de succès du développement du logiciel libre: conséquences pour les organisations, Daniel Pascot, Université Laval.

Le logiciel est un enjeux de société (pour tous aujourd'hui). Cite Latrive, des nains sur les épaules des géants. La connaissance se construit sur la connaissance.

Pourquoi un universitaire devrait-il s'intéresser au logiciel libre? Cite Stallman qui confronte son premier problème, refuser aux autres quelque chose d'utile qu'on à besoin soi-même. C'est donc aussi une question morale et intellectuel. Etre utilisateur et producteur de connaissance.

Le logiciel un drôle de bine économique (paradoxal). Non-rival (son usagene l'épuise pas, son auteur ne perd rien à le partager). Effet réseau (plus un logiciel est utilisé, plus il est utile). Investissement initial relativement petit. Coüt variable de reproduction quasi-nul.

Le brevet est une manière artificielle de créer de la rareté. La vraie valeur d'un logiciel est dans son usage. Il faut regarder de ce côté pour évaluer les logiciels libres. Le logiciel est une connaissance qui ne devrait pas s'évaluer comme l'acier, le charbon ou le pétrole, qui sont des biens rivaux.

Les 4 libertés fondamentales du logiciel libre. Un logiciel c'est comme une recette de cuisine. Il faut avoir accès aux ingrédient pour devenir chef! Les licenses libres nécessitent un cadre juridique. Basé sur le copyright existant. La GPL est une garantie pour les participants, que leur participation ne sera pas rendue nulle ou effacée. Permet de garantir la perrenité de la collaboration.

Conditions de démaragge d'un projet. 1. Un besoin non satisfait. 2. Un utilisateur connaissant. 3. Un (ou quelques) concepteur(s) compétent(s). Un autre que j'ai manqué!

Promotion par contagion d'utilisateurs intéressés. Par recommandation, diffusion web.

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Publié le: 16 May, 2005 - 09:23

Open standards for government, par Claudia Boldman, Commonwealth of Massachusetts' Executive Office of Administration and Finance.

J'ai manqué un peu le début, mais maintenant, un des points couvert maintenant c'est de trouver la juste balance. Un des problème c'est que les requirements et les processus d'achats ne supportent pas le modèle open-source. Elle présente le travail qui est fait au niveau des RFR (soumissions) et le rôle du gouvernement, quand est-ce que les organisations publiques doivent intervenir pour changer le processus actuel? Quelle est la responsabilité du gouvernement face à l'industrie traditionelle?

Le government open code collaborative a été créé pour encourager l'échange entre les entités gouvernementales. Création d'une entité légale pour couvrir ces aspects, www.gocc.gov ou 11 organismes d'états participent et il y a 105 organisation observatrices. Le tout est du travail bénévole pour l'instant.

Pour terminer, une citation de John F. Kennedy: There are risks and costs to a program of action. But they are far less than the long-range risks and costs of comfortable inaction.

Réponse à la question: comment se battre contre la culture de l'ancienne technologie? Avec des centres d'excellence en développement, en utilisant firefox et open office dans de plus en plus d'endroits, par exemple.

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Publié le: 16 May, 2005 - 09:20
Nous sommes plusieurs membres de FACIL à la conférence sur les logiciels libres dans les administrations publiques. Grâce à un peu de travail préalable, la salle est maintenant couverte de réseau sans-fil et nous enregistrons les conférences en audio... donc, suivez-nous au cours de ces deux journées!
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Publié le: 6 May, 2005 - 20:32
Ça fait partie des trucs à faire dans les prochains jours...
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Publié le: 6 May, 2005 - 20:27
Oasis annonçait l'approbation et la publication du troisième jet (draft) du format ouvert de documents de bureautique. Discussions sur Slashdot et spécifications complètes (format PDF, lien direct) maintenant disponibles. Les projets OpenOffice et KOffice ont déjà annoncés qu'ils étaient pour supporter ce format dès leur prochaine version officielle. (en fait les bétas de Open Office 1.9 le supportent déjà).