400 CD Ubuntu distribués à la journée mondiale du logiciel libre à Montréal

Cette page a été archivée

L'information de cette page n'est fournie qu'à des fins de référence, de recherche et de tenue de documents. Elle n'a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Par conséquent, elle peut être inexacte et/ou ne pas correspondre aux activités présentes de FACiL. Si vous avez des questions concernant cette page, veuillez communiquer avec nous.

Grâce à Fabian Rodriguez qui a obtenu la permission de tenir un kiosque d'information dans le métro Berri-UQUÀM, et avec l'aide de nombreux bénévoles, 400 CDs de la distribution Linux Ubuntu ont pu être distribués aux passants, à qui on a tâché d'expliquer ce que sont les logiciels libres. Cette journée mondiale du logiciel libre marquait le début de la Semaine québécoise de l'informatique libre (SQIL), qui se déroule du 15 au 23 septembre cette année. La SQIL est une façon de souligner le travail collaboratif des milliers de développeurs à travers le monde en permettant au grand public d'en prendre connaissance et de se l'approprier. Consultez le site web de la SQIL pour connaître le programme complet. Un grand merci aux bénévoles qui ont aidé ce samedi! Quelques-uns seront également présents au colloque Cultures libres, innovations en réseau qui aura lieu lundi et mardi à l'UQÀM, et plus particulièrement au kiosque de Facil où d'autres CDs seront offerts. En plus de Ubuntu, le public pourra aussi obtenir le bureau libre Free-EOS, qui est une compilation de logiciels libres, conçue en partenariat entre la ville de Brest, l'association Free-EOS et les associations et groupes d'utilisateurs locaux du Libre Archipel du Libre, Finix et Infini.
Thème: 

Comments

Merci pour la mention, Nicolas, mais sans la collaboration de FACIL et le mandat de coordination que Robin Millette m'a passé, ca n'aurait pas été possible. On peut préciser que toute organisation sans but lucratif peut demander à la STM un permis d'activité, mais la procédure est un peu longue et on doit signer un dégagement de responsabilité ou présenter des preuves d'assurances. Personellement je crois que cette activité aurait pu être annoncée avant mais nous n'avions pas l'assurance qu'elle aurait lieu. Malgré tout j'ai décidé d'aller de l'avant. Considérant le délai, on a pu compter sur 8 volontaires au courant de la journée et Canonical avait commandité environ 400 CDs par le biais de son bureau de Montréal ainsi qu'une centaine le biais de la Free Software Foundation, puis 50 autres produits par FACIL. Nous avons recu du matériel promotionnel tout comme quelque 480 équipes à travers le monde. FACIL a financé presque 800 fotocopies pour deux feuillets assez denses qui constituaient un bon "crash course" ou kit d'introduction du libre au QC. Nous avons eu quelques commentaires sur le fait qu'Ubuntu soit aussi présent. Personellement en tant que membre de la FSF et employé de Canonical, je crois que j'ai bien expliqué le rôle des CDs - car en réalité c'est le média qui rends cette présence aussi importante. J'aurais aimé voir des partisans de Fedore ou OpenSuse ou toute autre distribution, mais je pense que commencer par Ubuntu est une bonne approche. La proximité de l'Atelier du Libre était aussi une excellente combinaison. J'ai compté plus de 230 personnes qui ont recu une explication d'au moins quelques *secondes* sur FACIL et les logiciels libres, en plus des CDs et feuillets distribués. C'est une rare occasion pour tout activiste ou utilisateur des logiciels libres d'être en contact avec "le vrai monde". C'était un succès et nous pourrons profiter de cette expérience pour nous prendre d'avance et organiser plusieurs kiosques semblables l'an prochain, mais aussi répéter l'expérience en dehors du cadre du Software Freedom Day. J'ai hâte :)

Je suis un peu absent de la scène depuis quelques temps pour terminer mon doc, mais je continue à me tenir au courrant de ce qui se passe. Je suis très heureux d'apprendre que vous avez réussi à distribuer autant de CDs lors de l'évènement. La question des logiciels libres est complexe et certainement difficile à expliquer en quelques secondes, d'autant plus qu'il faut souvant trouver un angle propre à chaque personne pour l'intéresser à la question. Est-ce que des journalistes ont été interpellés par l'évènement?

Le fait de voir que les gens regardaient les affiches FACIL/Free Software Day/Ubuntu et se posaient des questions était intéressant. Plusieurs personnes sont passé simplement pour montrer leur support et dire qu'il utilise des logiciels libres lorsque c'est possible. J'ai trouvé l'expérience vraiment super.

Yannick: oui, il fallait parler vite et aller droit au but. Certains avaient un malin plaisir à essayer toutes sortes de formules :) Et non, aucun journaliste n'a été aperçu.