Formats ouverts

Succès de la rencontre OpenStreetMap Montréal à l'occasion du 9e anniversaire d'OSM

Le projet OpenStreetMap célébrait son 9e anniversaire ce mois d'Août, et c'est à cette occasion que le groupe OSM Montréal animé par Guillaume Pratte, Blanca Mancilla et autres "mappeurs", et appuyé par FACIL, s'est réuni le 19 août.

Auditions de la CAI : FACIL appuie le mémoire de Québec Ouvert

FACIL donne son appui au mémoire déposé par Québec Ouvert à l'occasion de la consultation générale et des auditions publiques sur le rapport quinquennal de la Commission d'accès à l'information (CAI), qui débutaient le mardi 9 avril 2013.

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Une feuille de route pour nos gouvernements - Richard Stallman

Richard M. Stallman propose aux gouvernements du monde une politique envers les logiciels libres.  Comme toujours avec Stallman, il ne fait pas de compromis.  Il vaut toujours mieux viser plus haut que plus bas en matière de politique.

Tous nos gouvernements sont à des années-lumière de respecter ce programme.  En lisant le texte de Stallman, vous mesurerez tout ce qui reste à faire pour convaincre les gouvernements de "s'approprier l'informatique libre".

Le texte de Stallman (traduit en français)

Un logiciel de 669 $ vendu 11 $ à des fonctionnaires

La stratégie de Microsoft est évidente, selon Daniel Pascot, professeur en systèmes d'information organisationnels à la faculté d'administration et porte-parole de FACIL, un organisme qui fait la promotion de l'informatique libre. L'objectif est de rendre les gens dépendants de sa plate-forme.

«Plus les gens se servent d'Office à la maison, plus l'employeur est incité à rester avec Microsoft. Si, au contraire, les gens se servaient d'OpenOffice, ils demanderaient au Ministère : pourquoi payer des centaines de dollars chez Microsoft quand on peut faire ça gratuitement?»

La suite dans le Soleil de Québec

Stallman avait "malheureusement" raison depuis le début

C'est par cette phrase que le Framablog présente la traduction française d'un article de Thom Holwerda le "managing editor" de la revue en ligne OSNews.com.  Ce dernier ne peut être accusé de partialité car il déclare "J'ai, moi aussi, ignoré Richard Stallman que je jugeais trop extrême".  Pourtant il revient sur son opinion pour nous déclarer que "malheureusement" Stallman avait raison depuis le début de nous inciter à n'utiliser que des logiciels (autant sur le Web que sur nos postes de travail) libres.

La Société GRICS fera passer toutes les Commissions scolaires à Microsoft

Un membre de la liste de discussion de FACIL a envoyé le message suivant suite à la Réunion Nationale de la Société GRICS. Selon lui, le choix de la future plateforme de développement de la GRICS pour les logiciels qu'elle fournit aux commissions scolaires aura pour effet de les enfermer pour 10 ou 20 ans dans l'univers Microsoft avec ses coûts de licence élevés et ses formats propriétaires. Bref, le contraire de ce que la Société préconisait lors de son passage à commission parlementaire en rapport avec la loi 133.

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Communauté européenne, Québec, même combat

ComputerWeekly.com sous la plume de Mark Ballard nous apprend que la Communauté européenne se procure des logiciels sans appels d'offre en favorisant systématiquement une seule compagnie, Microsoft.

Ceci ne vous rappelle rien? On a l'impression à lire l'article de se trouver au Québec.

L'article traduit en français par Framablog

L'article original en anglais

Sommes-nous vraiment en 2011? La RQAP ne le sait sûrement pas!

On dit souvent que la main gauche ignore ce que fait la main droite.  C'est sûrement le cas au gouvernement du Québec.  D'un côté on prétend donner une place prépondérante aux logiciels libres et de l'autre certains sites WEB du même gouvernement vivent dans un autre monde, un monde où il n'y a qu'un système d'opération et un seul navigateur.

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Le Président de FACIL s'adresse aux futurs élus municipaux

Cyrille Béraud, président de FACIL, s'adresse aux futurs élus municipaux en leur rappelant que la seule façon d'éviter les erreurs de gouvernance, c'est d'être transparent. Les électeurs pourront alors exercer une saine surveillance des élus mais aussi des fonctionnaires. Pour obtenir cette transparence, il est essentiel que les documents publics soient vraiment publics.