Le document présenté par le PQ souligne que, tout en enlevant de la pression sur le budget de l'État, ces logiciels viennent également réduire la dépendance du gouvernement à un seul fournisseur informatique, facilitent l'échange de données entre plusieurs services, sécurisent les données informatiques, mais aussi augmentent l'autonomie numérique du gouvernement. «Le logiciel libre a aussi l'avantage d'encourager l'industrie locale du service informatique avec, à terme, la possibilité d'avoir une véritable expertise québécoise dans ce domaine».