Le 13 septembre dernier, la Free Software Foundation Europe (FSFE) et 30 autres organismes publiaient une lettre ouverte demandant aux élu.e.s du Vieux Continent de mettre en œuvre une législation exigeant que le logiciel financé par le contribuable pour le secteur public soit, règle générale, disponible publiquement sous une licence de logiciel libre.
Inutile d'expliquer pourquoi cette nouvelle campagne de sensibilisation de la FSFE n'intéresse pas que l'Europe et par conséquent pourquoi FACiL a rapidement décidé de rejoindre les organismes qui ont formellement donné leur appui à la lettre ouverte (plus de 70 au moment d'écrire ces lignes).
Il est également possible de signer la lettre à titre individuel, chose que nous vous encourageons fortement à faire (si ce n'est pas déjà fait) en visitant cette adresse :
FACiL lancera bientôt sa campagne de signatures du Pacte du logiciel libre pour les élections municipales de 2017 : la formule «Argent public, code public» sera un bel ajout à notre argumentaire habituel pour inciter nos élu.e.s à donner la priorité au logiciel libre dans tous les projets numériques payés par nos impôts et nos taxes.