Les ministères échouent à un test de FACIL : après enquête, les défenseurs du logiciel libre dénoncent le manque de transparence

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Article de Fabien Deglise dans Le Devoir du 29 avril 2014.

La preuve par l’expérimentation. Au terme d’une demande massive d’accès à l’information détenue par une vingtaine de ministères, l’Association pour l’appropriation de l’informatique libre (FACIL) est catégorique : « l’État québécois » est loin d’être « ouvert » et, du coup, « il reste encore beaucoup de verrous à faire sauter pour libérer l’information publique », résume le groupe qui vient toute juste de diffuser, de manière ouverte, les fruits de son enquête.

L’opération a été lancée le 21 février, soit la veille de la Journée internationale des données ouvertes. FACIL a réclamé des ministères des Transports, Culture, Santé, Famille, Justice ou encore Éducation — pour ne citer qu’eux — les « bilans de projets » et « bilans annuels » que ces organismes doivent désormais produire en vertu d’une loi de 2011 sur la gouvernance et la gestion des ressources informationnelles des organismes publics et des entreprises du gouvernement.

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