Article de Fabien Deglise dans Le Devoir, 12 juin 2014.
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Mis au parfum de l’existence de ces projets d’influence des élus et fonctionnaires orchestrés par IBM et Microsoft, les défenseurs d’une informatique plus libre et transparente au Québec se sont désolés d’une telle action groupée qui, selon eux, va finir par donner à ces entreprises un « contrôle démesuré » sur le projet de ville et d’administration intelligentes, contrôle « qui ne peut pas être bon », a résumé Fabian Rodriguez, président de l’Association[sic] pour l’appropriation collective de l’informatique libre (FACIL).
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