Sortir des ornières pour sortir de la crise. En marge du Sommet sur l’enseignement supérieur qui a débuté lundi à Montréal, l’Association pour l’appropriation collective de l’informatique libre (FACIL) invite les universités du Québec à remettre en question leur dépendance coûteuse envers les géants de l’informatique privative, comme Microsoft, pour mettre leur parc informatique au diapason avec le logiciel dit libre. Ce changement de paradigme serait salutaire, dit l’organisme, en raison des millions de dollars d’économie qu’il pourrait engendrer, et ce, dans le contexte de tension budgétaire qui afflige actuellement les maisons d’enseignement.
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