Billet du 17 mars dans Le blogue de Pierrot Péladeau (Journal de Montréal & Journal de Québec).
Encore à ces élections-ci, l’association FACIL, pour l’appropriation collective de l’informatique libre (FACIL) demande aux candidats de signer un Pacte du logiciel libre. L’objectif est précisément que le Québec (gouvernement, organismes publics, entreprises et citoyens) demeure libre de ses choix plutôt que soumis à ceux des fournisseurs d’outils informatiques.
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« J’ai conscience que le logiciel libre est d’abord une réponse à un problème d’éthique ». Voici les premiers mots sur lesquels s’ouvre la déclaration que le FACIL demande aux candidats de signer. On peut ajouter que le logiciel libre est une réponse à un problème politique.