Des exemples concrets de développement coopératif dans les collectivités et les hôpitaux

Des exemples concrets de développement coopératif dans les collectivités et les hôpitaux, par M. Pascal Feydel, Délégué général, Adullact-France.

L'Adullact vise à mutualiser le développement d'application métiers, par le biais d'une organisation de type OSBL et d'une coopérative de travail (j'ai traduit les termes en version québécoise). Création européenne d'une forge de développement logiciel européen et accent sur l'international

Évolution de la logique des méthodes de développement, du développement individuel au développement mutualisé aujourd'hui, centré sur les besoins des utilisateurs. Il présente un tableau intéressant sur les différence. Une importante, en maintenance avec les logiciels propriétaires et logiciel libre, c'est que les contrats de mainteance propriétaires sont fixes et rarement modifiable, alors que dans les prestations libres, c'est ouvert à discussion, au juste prix.

Le développement coopératif de l'ADULLACT ajoute à la méthode bazaar tout le côté gestion de projet, la documentation, les rencontres de travail, le suivi du progrès de programmation. Un logiciel libre est gratuit lorqu'il a été payé. L'argent public ne doit payer qu'une seule fois. C'est excellent! Ça prends ça au Québec sérieusement. (note: poser la question, qu'est-ce qui fut nécessaire pour démarrer l'addulact?) Une équipe permanente de 10 personnes et une version de sourceforge locale. Modèle économique, sur l'atelier (gForge), le magasin (pour les membres) avec les logiciels récents, packagés, testé, auto-installable. Ensuite le grenier, les logiciels finalisés et redistribués gratuitement.

1000 contributeurs, 150 projets. Formation en développement opensource, CVS, gForge, outils de développement, projets libres. Le magasin est géré avec Mambo. Espace de démonstration en-ligne de tous les logiciels développés à partir de leur site. 4 communauté, PHP, Java, Python et .NET, ce qui cause discussion, mais ils sont pragmatiques, si un logiciel est libre, même si sa plate-forme de développement ne l'est pas, il est admissaible quand même. Projet d'échange de données XML et de schémas communs pour les acteurs publics.

Il présente un projet de données libres, une carte libre (ou les données sont libres), ils distribuent des GPS et les gens enregistrent les points, c'est comme un wikipédia cartographique/geographique, sur mapserver... étonnant et impressionant, ça se nomme un point c'est tout!

Projet GCOD, à partir d'un diagramme UML en DIA, qui génère du PHP, JAVA ou C. Un projet d'un système de gestion de signatures. Présentation aussi d'un espace numérique de travail (ENT), très similiare à MILLE mais en php. Trois catégories de projets, Projets en dépot (démarrage, code mais communauté à créer), projets mutualisés (communauté pré-existantes, groupes de travail) )et projets entreprises (logiciels déjà développés par des entreprises). Par types de technologie, PHP, JAVA, Python, etc.

Les services offerts, support technique, le développement veille et acccès aux études, animation des communautés de projets, pakcaging des logiciels, hébergement des solutions libres. C'est ainsi que l'ADULLACT se finance. Il termine par l'image d'un cercle vertueux (wow!) je veux une copie de cette présentation!