En bref
Publié le: 17 janvier, 2012 - 21:42

C'est pourquoi, tout comme des milliers de sites Web dans le monde, la page Web de FACIL sera en black-out demain le 18 janvier.

Cette journée a été choisie car c'est la date retenue par le Congrès américain pour l'étude des deux projets de lois.  Plusieurs sites très connus du Web seront en black-out dont Wikipedia pendant 24 heures.  Google ne sera pas en black-out mais ajoutera un bandeau qui expliquera son opposition aux deux projets de lois. Des milliers d'autres ont annoncé qu'ils seraient en black-out.

Si vous voulez en connaître davantage sur les effets néfastes pour la liberté d'Internet de ces deux projets, voici des hypeliens pour vous informer.

Framablog et Wikipedia

Annonce
Publié le: 8 janvier, 2012 - 15:52

Framabook, l'éditeur libre lié à Framasoft, nous annonce la parution d'un ouvrage intitulé "Option Libre. Du bon usage des licences libres". L'auteur, Benjamin Jean, est un juriste spécialisé en propriété intellectuelle. Il travaille sur les nouveaux usages et collaborations qui se développent autour de la création et de l'innovation.

Après une présentation du cadre légal associé aux créations de l'esprit, initialement conçu comme un système en équilibre, l'ouvrage plonge le lecteur dans ce nouveau paradigme des licences libres. Tout en évitant la simple exposition de règles et de normes, c'est de manière méthodique que seront abordées les notions juridiques à la base des nouveaux rapports entre les acteurs.

En bref
Publié le: 8 janvier, 2012 - 15:23

C'est par cette phrase que le Framablog présente la traduction française d'un article de Thom Holwerda le "managing editor" de la revue en ligne OSNews.com.  Ce dernier ne peut être accusé de partialité car il déclare "J'ai, moi aussi, ignoré Richard Stallman que je jugeais trop extrême".  Pourtant il revient sur son opinion pour nous déclarer que "malheureusement" Stallman avait raison depuis le début de nous inciter à n'utiliser que des logiciels (autant sur le Web que sur nos postes de travail) libres.

Il continue en démontrant que plusieurs lois et plusieurs actions des compagnies multinationales menacent nos libertés et en particulier notre liberté de parole sur le Web.

En bref
Publié le: 6 janvier, 2012 - 08:47

De quoi le gouvernement provincial peut-il bien avoir peur lorsque vient le temps d'ouvrir son marché de l'informatique à la libre concurrence? 

La suite, dans le Soleil de Québec

 

En bref
Publié le: 6 décembre, 2011 - 22:26

Ce n'est pas le première fois que le journal Le Soleil aborde la question du logiciel libre.  Une fois de plus, Pierre Asselin démontre par des exemples tirés de plusieurs pays qu'il est profitable pour les gouvernements de faire le passage aux logiciels libres.

Un article pertinent dans le contexte actuel ou l'appareil gouvernemental et para-gouvernemental s'apprête à trahir l'esprit de la loi 133 en faisant migrer tout son parc informatique à Windows 7 et à MS-Office 2010 sans études sérieuses à l'appui et sans appel d'offres.  Une facture qui devrait, selon certains, s'élever à plus de 800 millions de dollars.  Nous pensions que la crise avait des incidences budgétaires.  Faut croire que nous nous étions trompé.

L'infrastructure administrative des commissions scolaires passera également sous logiciels propriétaires. Comme quoi entre une loi et son application, il y a souvent un grand fossé.

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Publié le: 27 novembre, 2011 - 15:43

Un membre de la liste de discussion de FACIL a envoyé le message suivant suite à la Réunion Nationale de la Société GRICS. Selon lui, le choix de la future plateforme de développement de la GRICS pour les logiciels qu'elle fournit aux commissions scolaires aura pour effet de les enfermer pour 10 ou 20 ans dans l'univers Microsoft avec ses coûts de licence élevés et ses formats propriétaires. Bref, le contraire de ce que la Société préconisait lors de son passage à commission parlementaire en rapport avec la loi 133.

Mais laissons la parole au message envoyé sur la liste :

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Publié le: 21 novembre, 2011 - 20:59

Vous avez certainement suivi avec nous les procès de Savoir-Faire Linux et de FACIL contre la Régie des Rentes du Québec.  Savoir-Faire Linux a gagné son procès obligeant ainsi le gouvernement à reconnaître qu'il devait soumettre les contrats et les achats en informatique à la règle des appels d'offres.

Dans la foulée de ce procès le gouverrnement a fait voter la loi 133.  FACIL et l'APELL furent convoqués en commission parlementaire.  Il semble que leurs doléances furent entendus puisque la loi 133 faisait place à la notion de logiciels libres et exigeait qu'une étude sérieuse soit faite avant de conclure qu'un logiciel libre ne pouvait pas convenir à la tâche.

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Publié le: 7 novembre, 2011 - 15:17

Nous avons déjà abordé la question de l'accès aux vidéos sur les sites de Radio-Canada, en particulier lors du lancement de Tou.tv.  Sur Tou.tv, la situation s'est améliorée et on peut visionner les épisodes proposées autant sous Linux que sous Android.  Du moins j'y arrive même si la fluidité n'est pas toujours au rendez-vous.

Par contre, la fameuse "Zone Audio-Vidéo" du site principal de Radio-Canada reste une zone interdite à Linux.  Curieusement seule la publicité du début fonctionne correctement. Même le site Mobile qui donne les nouvelles en vidéo sous Android ne les offre pas si on démarre le site Mobile d'un ordinateur sous Ubuntu.

On arrive à voir la télévision en direct sur le site de Radio-Canada à partir d'Android mais il faut souvent beaucoup de patience et des manipulations pour y arriver.

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Publié le: 19 octobre, 2011 - 07:33

Cet article d'OWNI fait le point sur le passage prochain de l'ACTA au Parlement europếen.  Chemin faisant, on propose une belle analyse des effets que l'ACTA aura sur les citoyens, encore moins de liberté.

Le Canada vient d'accepter de signer l'ACTA dans la plus grande discrétion (voir notre nouvelle précédente).

Lire l'article d'OWNI

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Publié le: 2 octobre, 2011 - 17:32

FACIL a dénoncé dès le début les négociations connues sous le nom d'ACTA.  Ces négociations tenus dans le plus grand secret ont pour but officiel de contrer la contrefaçon.  En réalité, ces discussions ont mené à un accord qui risque de nuire grandement à l'informatique libre en soutenant les DRM, en favorisant la création de brevets sur les logiciels, en forçant les fournisseurs d'accès Internet (FAI) à "espionner" leurs clients, c'est-à-dire tous les internautes, et on pourrait allongert la liste.

L'ironie c'est que les négociations étant secrètes, on ne connaît les termes de l'accord que par les quelques fuites qu'il y a eu.  Notre gouvernement signe un accord dont on ne connait pas les termes exacts mais nous devrons subir les mesures préconisées dans cet accord.