FACIL avait dénoncé, à l'époque, la volonté de la STM d'attribuer un contrat à Microsoft sans considérer dans l'appel d'offres la possibilité d'utiliser du logiciel libre. La société de transport avait alors reculé mais on le voit aujourd'hui, c'était pour mieux sauter.
La STM prétend, cette fois, que c'est à la suite de deux études sérieuses qu'elle en arrive à la conclusion qu'il lui faut impérativement la suite bureautique de Microsoft. Le procès de Savoir-Faire Linux contre la Régie des rentes a au moins eu cet effet... susciter des études préalables!
La nouvelle loi 133 de la ministre Courchesne aura du pain sur la planche pour amener les logiciels libres dans les organismes publics.
Espérons au moins que la STM rendra ces études publiques qu'on puisse en faire l'analyse.