Lionel Perez, conseiller de ville du district de Darlington dans l’arrondissement Côte-des-Neiges—Notre-Dame-de-Grâce, nous a transmis les réponses de l'Équipe Denis Coderre pour Montréal aux cinq questions de FACIL sur l'informatique libre.
Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) réitère sa demande au président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, d'ouvrir une enquête publique sur l'attribution des contrats gouvernementaux en informatique, et ce, dans les plus brefs délais. En janvier dernier, monsieur Bédard avait indiqué que s'il y avait des révélations similaires au secteur de la construction, il n'hésiterait pas une seconde pour recommander à Mme Marois de procéder avec un mandat particulier à la Commission Charbonneau. Or, les révélations concernant le refus de la Sûreté du Québec d'attribuer un important contrat informatique à la firme CGI ayant pourtant remporté l'appel d'offres, viennent appuyer la nécessité d'une enquête publique.
À tous les membres de FACIL,
Vous êtes invités à assister à une assemblée générale extraordinaire qui aura lieu le 30 novembre prochain, à 13 h 00, au Centre de recherche informatique de Montréal (CRIM).
Pour plus de détails, veuillez s'il vous plaît vous référer à la Proposition de plan d'action 2013-2015 du CA de FACIL sur le wiki:
Tim Fournier, M. Sc., attaché politique au cabinet de la 2e Opposition à l'Hôtel de Ville de Montréal, nous a transmis les réponses de Projet Montréal aux cinq questions de FACIL sur l'informatique libre.
Clément Sauriol, candidat indépendant à la marie de Montréal, a répondu aux cinq questions qu'il a reçues de FACIL sur ses engagements en matière d'informatique libre.
Lire les réponses de ce candidat...
FACIL, pour l'appropriation collective de l'informatique libre (FACIL) a soumis aujourd'hui cinq questions aux candidat(e)s à la mairie de Montréal dans le cadre de sa campagne pour le Pacte du logiciel libre.
Le choix des questions de FACIL reflète les thèmes de l'éthique, de l'intégrité et de la transparence qui se sont naturellement imposés dans la campagne électorale en raison des pratiques de corruption, de collusion et de malversation qui ont entaché l'octroi et la gestion des contrats accordés par la Ville de Montréal. Grâce à l'enquête de la Commission Charbonneau, nous savons un peu mieux ce qu'il en est dans l'industrie de la construction, mais n'y a-t-il pas de bonnes raisons de soupçonner que des pratiques semblables soient courantes dans d'autres industries, comme celle de l'informatique par exemple? N'y a-t-il pas lieu de procéder à une véritable enquête sur les contrats informatiques?
Le 2 octobre dernier, Geneviève Fioraso, ministre française de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, présentait les 18 actions de l’agenda numérique de l’enseignement supérieur de son pays. Mme Fioraso était accompagnée pour l’occasion de deux autres ministres : Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des PME, de l’Innovation et de l’Économie numérique, et Yamina Benguigui, ministre déléguée chargée de la Francophonie. Le même jour, les 20 premiers cours en ligne à accès libre de la France étaient annoncés dans le cadre d’un mégaprojet nommé « France université numérique ».
Au début du mois d'octobre, FACIL a rejoint la liste des organisations de la société civile qui ont signé les Principes internationaux sur l’application des droits de l’homme à la surveillance des communications dévoilés le 20 septembre dernier à Genève, dans le cadre d'un événement sur le droit à la vie privée organisé par les gouvernements de l'Allemagne, de la Norvège, de l'Autriche, de la Hongrie, du Liechtenstein et de la Suisse. L'événement se tenait en parallèle de la 24e session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU qui débutait le 8 septembre.
Dans une récente allocution, Raymonde Saint-Germain, protectrice du citoyen du Québec, faisait le triste constat que la fonction publique manque de transparence et n’a pas réussi à moderniser suffisamment rapidement ses services. En conséquence, les citoyens ont perdu confiance en la capacité des institutions publiques à répondre à leurs besoins. Elle proposait de « reconstruire le lien de confiance entre les élus, les citoyens et les gestionnaires publics » en faisant preuve de davantage de transparence et en accélérant la modernisation des services de l’État. C’est pour cela que Québec ouvert, une initiative citoyenne, a lancé l’initiative « Je vote pour la transparence 2013 » : pour inciter les prochains élus à moderniser nos services publics en instaurant davantage de transparence
La suite dans Le Devoir