Vous cherchez un logiciel « libre » ? Un espace de partage non marchand ? Et même des œuvres ou des biens culturels considérés comme des biens communs ? En surfant sur internet, vous avez de grandes chances de tomber sur Framasoft, l’un des principaux portails francophones du libre. Son annuaire recense 1 600 logiciels, testés et commentés. Depuis 12 ans, ce réseau est devenu le promoteur incontournable d’une « culture du libre » en France, avec le développement de multiples projets : une maison d’édition de livres libres (Framabook), un blog d’informations (Framablog), une équipe de traduction (Framalang), une plateforme de vidéos (Framatube) mais aussi une « forge logicielle » (Framacode, sur Github) ou un laboratoire de projets (Framalab).
It is now 30 years since I launched the campaign for freedom in computing, that is, for software to be free or “libre” (we use that word to emphasize that we’re talking about freedom, not price). Some proprietary programs, such as Photoshop, are very expensive; others, such as Flash Player, are available gratis — either way, they subject their users to someone else’s power.
La suite sur Wired
GNU fête ses 30 ans de vie aujourd'hui même le 27 septembre 2013. En effet, le 27 septembre 1983, Richard Stallman diffusait l'annonce initiale du projet de développement du système d'exploitation GNU dans les groupes net.unix-wizards et net.usoft de Usenet. Les premiers mots de cette annonce étaient :
« Libérez Unix ! » (Free Unix!)
C'est le moment fondateur de ce qui allait devenir le mouvement international pour le logiciel libre.
Le président de FACIL Fabián Rodríguez est dans la région de Boston en ce moment même pour célébrer l'événement avec la Free Software Foundation. Il sera également au hackaton organisé au MIT les 28 et 29 septembre.
Pour plus d'informations : https://gnu.org/
Comme la plupart de mes collègues, le sujet vous laisse probablement perplexe. Un logiciel ou un autre, finalement, ça change quoi? Ça change pas mal de choses, en réalité.
L'Institut de recherche et d'informations socio-économiques (IRIS) vient de publier une note où il fait miroiter les économies de 264 millions $ qu'aurait permis l'usage de logiciels libres, si Québec avait choisi cette solution au lieu de migrer ses milliers de postes de travail vers les dernières versions de Windows.
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La question des logiciels informatiques dits ouverts s’est immiscée dans la campagne électorale, mardi, lorsqu’un groupe de pression a interpellé l’ensemble des candidats pour qu’ils signent le Pacte du logiciel libre.
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MONTRÉAL, le 24 sept. 2013 /CNW Telbec/ - FACIL, pour l'appropriation collective de l'informatique libre (FACIL) procède aujourd'hui au lancement de sa campagne de signatures du Pacte du logiciel libre par les candidat(e)s aux élections municipales québécoises. L'objectif de cette campagne est de recueillir le maximum de signatures du Pacte avant le jour du scrutin le 3 novembre 2013.
Comme les années précédentes, les signataires du Pacte prendront deux importants engagements par écrit :
- faire développer et utiliser des logiciels libres, de même que faire adopter et respecter des standards ouverts, exclusivement ou prioritairement
- défendre les droits des utilisateurs et des auteurs de logiciels libres
Les citoyen(ne)s qui désirent aider FACIL dans sa campagne et les candidat(e)s prêt(e)s à signer le Pacte sont invité(e)s à visiter l'adresse suivante :
Par un bel après-midi d’automne, cinq personnes ont bien voulu s’enfermer dans un bar du centre-ville de Sherbrooke pour regarder Eben Moglen en ma compagnie. Aucun d’entre eux connaissait Eben Moglen et, si je me fie aux réactions, ils n’avaient jamais non plus entendu quelqu’un exprimer avec autant d’aplomb les fondements éthique et philosophique du logiciel libre. La discussion qui a suivi m’a plu. Ça fait changement du discours populaire sur le LL, qui se résume essentiellement dans ce titre : “Québec économiserait des millions en passant aux logiciels libres, soutient l’IRIS“.
Samedi le 21 septembre 2013 avait lieu la Journée du logiciel libre, événement international d'envergure auquel participent de nombreuses communautés de militants et d'amateurs de logiciels libres à travers le monde. Dans le cadre de cette journée, FACIL, pour l'appropriation collective de l'informatique libre (FACIL) organisait une rencontre au Centre de recherche informatique de Montréal (CRIM) à laquelle étaient conviés le grand public de la région de Montréal ainsi que tous les acteurs de la communauté de l'informatique libre.
Le collectif FACIL a souligné samedi la Journée du logiciel libre à Montréal. L’événement s’est déroulé au Centre de la recherche informatique de Montréal (CRIM).
Plusieurs acteurs du milieu de l’informatique libre, qui inclut les logiciels libres et les données ouvertes, étaient sur les lieux.
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